On ne peut bouger un doigt,
Sans que tu y trouves malice.
Voilà que tu hausses la voix,
Et que ça tourne aux sévices.
Comme tu dis n’importe quoi,
On se dit que tu te dévisses.
Alors on montre nos doigts,
Pour mettre fin au supplice!
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!