Peu sûr de ce à quoi je crois, je ne me fie plus à ce que je sais.
Ce que je sais n’est pas droit, alors la vérité ne me rate jamais.
Je crois que je pense sur du faux, au lieu de penser sur du vrai.
Peu de choses auxquelles je crois, il n’y a plus rien que je sais.
Et, comme je sais que je ne sais pas, je peux enfin parler vrai!
Je me sens un peu à l’étroit dans cet océan de vrai, désormais.