Quand les fées à grosses têtes se sont penchées,
Me demandant le vœu que je voulais, j’ai répondu:
« Je voudrais le vœu pour aider quand ça merglisse. »
Eh, c’est bon, j’étais bébé! Je disais ce que je voulais,
On ne me faisait pas encore chier avec mon français.
Des vœux, j’en envoie partout, j’en ai fait beaucoup.
Mon œil se met à se plisser, car ça va recommencer,
Signe des temps désolés, la grande leçon d’inanité.
Quelqu’un se met à chuter, car, pour lui, ça merglisse.
Mon stock de vœux va s’épuiser. Je réserve le dernier
Pour aider un de mes fils, quand, pour lui, ça merglisse!