Le grand Olaf Tiegelsen
Est arrivé, trente ans déjà.
Sur une épave bohémienne
Et armé jusqu’à son trépas.
Sous une pluie diluvienne,
Il a su compter jusqu’à trois.
Et voyant mieux les sirènes,
Il leur a foncé dans le tas.
Ce fut une guerre homérienne,
Car nul ne quitta le combat.
D’Olaf ou des trois sirènes,
C’est bien Olaf qui triompha.