Je ne sais pas pourquoi
Je me couche dans l’herbe.
Je me sens, quelquefois,
Tel un hareng qui gerbe.
Je ne sais pas pourquoi
Tu te roules dans l’herbe.
C’est un grand cri de joie
Qui prend de la superbe.
Je ne sais pas pourquoi
On a dormi dans l’herbe.
Je dirais, d’après moi,
Que le temps est imberbe.