Il faut courir pour de bon!


Tu es pris, comme un gluchon
Dans la toilée d’une glaviotte.
Vite, lève tes yeux au plafond
Et dis que tu vas aux chiottes.
Prends par la porte du fond
Et c’est tant pis s’il pleuviote.

Elle a lâché le plafond
Pour regarder vers les chiottes.
Et puis elle entend, au fond,
Ton galop sous la pleuviote.
Elle est après toi, gluchon,
Tu vois ses yeux qui clignotent.

Elle est après toi, gluchon.
Il faut courir pour de bon!

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *