Une chenille à plastron,
Cannibale à ses heures,
Lorgnait sur son lardon,
Les yeux pleins de douceur.
Elle regarde la télé
Et le combat de boxe.
Elle n’a rien comprené
Et c’est un paradoxe.
La chenille à plastron :
Faut se coucher, c’est l’heure!
Envoie tous ses lardons
Dans leur chambre, en hauteur.
Elle éteint la télé
Et se casse une graine.
Y’a rien à regarder,
En début de semaine.