Le temps que le temps passe!

Assis, à demi caché sous le tilleul qui a fini de s’égoutter, je regarde se mêler le sourire du soleil et les larmes d’une pluie à naître. Je regarde, comme d’une fenêtre et ça fait rêver. Au gauche, les voisins font du bruit. A droite, les moineaux, aussi. Pour le reste, rien, je suis bien.
Puis, la pluie devient honorable, elle écrase les bruits. Je me rentre!

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *