Il appert que les moustiques ont un goût prononcé pour ma peau, en été.
L’insecte du ciel
Dit son aurore frêle
A la nuit qui chancelle.
Si ce dicton préserve la face du premier moustique qui me pique, il ne peut rien pour la peau du deuxième.
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!