Un fantôme, sur sa chaise!


Il fait dehors, dans la maison,
Le silence a éteint les braises.
Rien ne viendra de l’horizon,
Prédit le fantôme, sur sa chaise.

Un grand vide entoure la maison.
Un froid des os que rien n’apaise
Vient te susurrer l’abandon
Et te laisse, glacé, sur ta chaise.

Encore une journée sans raisons,
On dirait que ces temps te pèsent.
Tout est frigide, dans la maison.
Le froid au cœur devient balèze!


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