C’est un délire de joie,
A haute intensité,
A rester assis là,
Sous un soleil léger.
Et je baille comme un rat,
A me les réchauffer.
Je m’empiffre de joie,
Respire ce temps d’été.
C’est un délire de joie,
D’une grande banalité.
Se percher sur le toit
Et aller s’amuser!