Tu es pris, comme un gluchon Dans la toilée d’une glaviotte. Vite, lève tes yeux au plafond Et dis que tu vas aux chiottes. Prends par la porte du fond Et c’est tant pis s’il pleuviote.
Elle a lâché le plafond Pour regarder vers les chiottes. Et puis elle entend, au fond, Ton galop sous la pleuviote. Elle est après toi, gluchon, Tu vois ses yeux qui clignotent.
Elle est après toi, gluchon. Il faut courir pour de bon!
Quand il est sur l’eau, il fait des ronds, des boucles, au lieu de filer comme le vent. C’est un danseur sur étang. Il en connaît les recoins, les humeurs, les instants. On le voit partout, ailleurs, quel que soit le temps. C’est un petit seigneur! Et c’est le seul qui reste, d’ailleurs. Les autres se sont pris des pruneaux…
Non, pas ton conte des mille-ennuis. Quelque chose qui intéresse!
La princesse Mierda était une autruche. Elle était conne comme cent ans. Faut dire que les fées qui venaient de la ruche ne l’avaient pas loupée. Accessoirement, elle était gaufre-cruche, surtout quand elle voulait danser. Et, bizarrement, même ses ours en peluche faisaient ce qu’elle disait.
Le prince Grolant était lourd de puces. Son accent était troublant. Il était goéland devant, mais derrière c’était Bruce. C’était un prince changeant. Ce n’était pas pour ça qu’il était ventre-puce. C’était pour une question d’argent. Et pour les puces, il avait une astuce, c’est de se gratter souvent.
Le cheval Brêlois sortait de la bûche, mais il était bien matois. Plutôt que de porter une de ces deux cruches, il a filé par les bois. Et si il y a rencontré des embûches, jamais on ne le saura.
Je vous ai présenté les personnages. Vous voulez l’histoire ou on reprend le livre?