Je crois vraiment que je n’ai rien à me conquérir. Parfois, par moments, la grâce, je la vois sur moi. Pourquoi courir? Plutôt vite s’arrêter et rester coi! Je regarde les taches de grâce, sur moi, grandir!
Le regard d’un père, plus jeune que mon gosse à moi. Son enfant, dans les bras. Comme il n’est pas si lourd, Il ne gigote pas! Le bercer, le porter, le tenir contre soi.
« Toi, tu es mon enfant et je ne veux rien changer de toi. Tu as des droits sur moi, j’apprends à répondre présent. J’apprends à bien te supporter, à être un père aimant! »
Père qui n’était rien avant et le comprend, à haute voix. Il re-signe et re-signe son contrat, si toujours étonnant! C’est, pour toujours, Noël quand tu regardes ton enfant!
Je me suis, peut-être, trompé, mais je ne le crois pas. Il est des regards qui aiment, dont on reconnaît la voix.