Au fond des catacombes, Est la chambre aux miroirs. Salle qu’il nous incombe D’atteindre, avant le soir. Des reflets de la tombe S’y lient aux frêles espoirs!
Ça fait comme une bombe, Supprimant l’ostensoir. On rotonde et retombe Sur ce damné miroir, Très voisin de la tombe, Inapte aux idées noires.
Sans attendre des plombes, On traverse le miroir. De la paix, la colombe Nous survole, sans retard. Oui, c’est comme une bombe, On n’est plus dans le noir!
Si tu ne ranges pas ton gourbi, J’en appelle au diable. Je veux que tu retrouves, aussi, Ton foutu cartable. Quand ce sera rangé, joli, Tu mettras la table. Et, c’est d’accord pour samedi, Si t’es raisonnable.