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Las, faut-il que j’aboie
Que tu écoutilles moi?

Si je dise à mi-voix,
Tu crois c’est du patois.
Si je conte en arbois,
Tu me fais tes yeux droits.
Si je narre en gaulois,
Tu dis c’est du chinois.

C’est quoi que tu dis là?
Parle-moi en françois!

A se sourire, en eux-mêmes, les gens sont beaux et intemporels.

Elle glandait, seule sur un rocher,
Au milieu de la rivière.
Elle ne m’a pas vu approcher,
Alors elle me considère…

On apprivoise le moment, s’il n’est pas trop sinistré.

La vie nous offre la lumière. Il est bon de sourire à l’échange…

J’ai plus pu, je peux peu, je pourra pas.

Moi, je vis selon mes principes!
Et, parfois, ils varient souvent.

Ce qui revient à dire:
Accepter le pire,
Tel un trésor secret.

Tu me verras pas dire,
Si je ne veux pas.
Et c’est pas ton sourire
Qui y changera.

Il sort, pour prendre l’air.
Il est vite assiègé
Par le vent de l’enfer,
Les tourbillons glacés.

Les mouvements de l’air
Auraient dû l’alerter.
Plongé dans ses chimères,
Il n’a pas regardé.

Il sort, pour prendre l’air,
Il n’est pas réveillé.
Il se ramasse par terre,
A côté de ses pieds.