On a dû la dire souvent, celle-là:
Vous avez de la chance, vous allez au boulot.
Je voudrais bien être à votre place!
Cherchez l’erreur!
J’ai mis un coup de trique,
Sur le cul du cheval.
C’est pas jeux olympiques,
Faudrait pas qu’il s’emballe!
Dans la rigueur de la nuit!
Si, matin, tu te lèves,
Pour y attendre l’envie,
C’est que tu vis en rêve
Et que tu n’as rien appris.
C’est comme un flambeau,
Dans la rigueur de la nuit.
C’est comme un écho,
Dans le cri des incompris.
Si, demain, tu t’enlèves,
Pour te sortir de l’oubli,
C’est qu’une vie s’achève
Et qu’une autre vie prend vie.
Le grand marché du Vermeil!
J’ai mon Pass Troisième-Âge,
Et je suis bien assuré.
Quand je pars en voyage,
Rien ne saurait m’arriver.
Dans la mémoire d’un soiffard!
Le problème avec la vodka? Déjà, c’est que j’aime pas ça.
Par contre, quand on me dit qu’elle est vraiment bonne, j’en prends une pour tenter. Au début, c’est pareil, c’est pas bon.
Puis, la sensation dans la gorge et l’estomac, le parfum dans la bouche, un claps de la langue… Vaut mieux en boire une autre, faut pas mourir idiot. Là, ça devient bon, le froid devient chaud.
D’où la troisième et c’est là que commence le problème!
Maintenant qu’il est tard!
Maintenant qu’il est tard,
Tu peux te mettre à l’aise.
Tu sirotes ton nectar,
En regardant les braises.
Maintenant qu’il est tard,
Tu cesses de gamberger.
Tu te refais du lard,
En lorgnant sur tes pieds.
Maintenant qu’il est tard,
Que tu t’es déchaussé,
Tu reprends ton bavard
Et t’en sers un dernier!
Maintenant qu’il est tard,
Que s’éteignent les braises
Que s’épaissit le noir,
Tu t’endors sur ta chaise!
A ces écrits qui m’ont pris!
Tu es grand, t’es fort et t’as un beau message.
Moi, je te dévore, à travers toutes tes pages!
A me creuser la tête!
Souvent, mes idées s’embêtent.
Elles sont bien capricieuses.
Elles ont peur qu’on les rejette,
Que je tourne en heures-creuses.
Parfois, mes idées s’entêtent
A se faire caverneuses.
Alors, mes idées s’arrêtent,
Bien avant la trotteuse!
C’est que je suis à confesse!
Je sens comme un vent de messe
Venir me caresser les fesses.
Si ce n’est pas de l’ivresse,
C’est que je suis à confesse!
Mais t’es où, Zouzou?
Tu es fou, Zouzou?
Il faut pas respirer,
Quand tu es dessous,
Que tu nages en apnée!