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Loin de moi l’idée de te nuire; il faudrait que je pense à toi, déjà!

C’était un jour de pluie et d’horreur, un vilain jour tout gris …

Il y a des poissons qui se jettent sur un hameçon sans appât.
En général, on les regrette pas. Ils aiment trop ce qui brille.

Je veux pouvoir te sourire de ce mot si benêt: Confiance!

C’est comme un bal empreint de libellules bleues.

Libérer ma puissance, mon savoir et mes instincts!

S’te plaît, s’te plaît!
Mets du lait dans ma bière.

S’te plaît, s’te plaît!
Va jeter mon p’tit frère.

S’te plaît, s’te plaît!
Ne dis rien à ma mère!

Tais-toi, tais-toi!
T’es privé de dessert.

Tais-toi, tais-toi!
Je suis encore ton père.

Tais-toi, tais-toi!
Lâche un peu ton p’tit frère.

Tu allais à pas lents, comme processe un moine;
Tes sandales trébuchaient. Et puis tu es passé.

Ton être-mammifère te fait vivre chaque seconde, à tout instant.
Toi, finalement, tout ce que tu sais faire, c’est bien le faire chier!

Sais-tu donc, Angelica, que tu portes, en ton sourire, l’erreur de moi?

Elle danse, Angelica et elle fait, pour nous faire rire, de petits pas.
Elle nous lance, Angelica, son été, dans le sourire d’un de ses bras.

La colombe, Angelica, elle a des voeux à offrir, dessus les toits.
La palombe, Angelica, elle veut toujours revenir dedans ses bois.

Elle nous chante, Angelica, une chanson pour aboutir auprès de soi.
Elle enchante, Angelica et sa voix, à se mûrir, se perle parfois.

Sur sa tombe, Angelica, on voit le printemps fleurir comme il se doit.
C’est une ombre, Angelica; on revoit le bois dormir entre ses bras …

Sache donc, Angelica, que tu gardes, en ton sourire, le coeur de moi!