L’humour et le style
T’empêchent de pleurer,
Te font digérer
Ce monde pas facile!
Deux schtroumpfettes à l’usine!
Deux schtroumpfettes à l’usine :
Une qui a un enfant
Qui, déjà, se dessine.
Une qui a une mère-grand
Dont elle est bien copine.
Oh, schtroumpfettes de l’usine!
Vos coucous de la main
Sont à mettre en vitrine.
Ils sont un parfum sain,
Au vieil air de l’usine.
Deux schtroumpfettes à l’usine :
On y trouve deux vivants,
Adultes et bien copines.
Bonne nuit, les enfants.
A demain, les gamines!
En ces temps cafouilleux!
En ces temps cafouilleux,
Il faut choisir l’eau froide.
Risquer le merveilleux,
C’est à finir tout roide.
Couiner à qui mieux mieux,
Ça va polluer l’escouade!
Le corbeau, sur le vent!
Quand on voit un corbeau
Planer dans la tempête,
On trouve ça super beau,
Même si ça fout les fouettes!
Sous le soleil de février!
Qu’il est beau, le temps!
Le ciel, lui, est bleu-ciel.
Le soleil est tout blanc.
On peut changer!
Je te dirais que tu as beaucoup changé.
A ce que je vois, à aborder toute chose,
Tu cherches à user de ton intelligence.
Ailleurs, c’est à côté!
A travers le tunnel,
Dessous la voie ferrée,
Je regarde l’autre ciel,
Luire, de l’autre côté.
Sur la route, un ballon,
Suivi par un chien mince.
Arrive un enfant blond.
Au pile, les freins grincent.
Et soudain, un ange passe.
L’auto sort du tunnel,
Lentement me dépasse.
La journée reste belle!
Une parole d’or!
Un ancien, que je venais consulter, m’a donné
Ce fabuleux conseil : Fais comme si tu savais.
D’une humeur merdique!
Cela m’arrive d’être bien,
Cela m’arrive d’être mal.
Sinon, je suis quotidien.
Mais, à la fois mal et bien,
Pas trop bien et pas si mal,
Je laisse ça à qui veut bien!
The inner road!
La voie du pèlerin
Le ramène à sa porte.
Il n’a besoin de rien,
Seul le chemin importe!