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Réformer l’industrie, c’est la solution!

Le pétrole, denrée rare, ne doit plus être utilisé que pour des raisons prioritaires. On réforme l’industrie et l’alimentaire. On fabrique nos jouets, si c’est nécessaire. Les choses coûtent plus cher.
Donc, augmentons les salaires et débarrassons-nous des intermédiaires. Et tout va mieux! On commence à préserver la Terre.

Soyons ce village qui ne se procure que ce dont il a besoin!

Quand, pour parler à ton poteau, il te faut, d’abord, allumer la télé,
Quand tu as besoin d’un micro-vidéo pour parler à celui d’à-côté,
Quand tu déverrouilles la broche, dans ton nez, avant de te coucher,

Est-ce qu’il y a des questions que tu préfères éviter?

Non! Quand sur un sujet, il y a à parler, c’est toujours plus complexe, imbriqué et circonstancié!

Plutôt qu’une acceptation monolithique,
Une interprétation entrepotique et contemplastique!

Quel est ce conglomérat,
Obscur, caché comme un rat?
L’actionnaire ruse la loi.
Serait-il mongol et rat?

Mais, que dit ce con, en bas?
Qu’on le dépiaute, comme les rats!
Débarrassons-nous de ça.
Collons-lui le Con-Choléra!

Une plaie, ce petit personnel!

Parlons de ces Chiens-Pockets,
Chiens-Pokémons, à l’air bête!

Mais, qu’as-tu fait du Youkie?
Je l’ai laissé dans le lit!

Parlons de ces Chiens-Choupettes.
Où sont le cul et la tête?

Mais, où est ton chien à toi?
Il est à la S.P.A.!

Parce que je m’ennuie trop,
Je me suis mis à creuser.
Comme dehors, il fait beau,
Je me fais chier, enfermé!

Ma soeur est un vrai chameau,
Elle ne fait que m’espionner.
Parce qu’il jouait avec l’eau,
Mon petit frère s’est noyé!

Seul, dans ma chambre, c’est trop.
J’en ai marre de me branler.
Où sont passés mes poteaux?
Je voudrais tant footballer!

Je suis couché sur le dos.
Je me surprend à flotter.
Tiens, quelque chose de nouveau!
Je vais devoir m’exercer.

Mais, dis-moi ce que tu attends?
Tu ne serais pas une petite couillette?

Je suis Con, c’est pour ça qu’elle me cocufie.

Si elle s’était tue, je ne l’aurais pas appris!

Des fois, je m’autorise à me détendre. Il fait beau, de surcroît.

A ces moments-là, je me vois à la plage, regardant droit devant moi.
Quand je ne veux pas me baigner parce qu’il y a trop des pingouins, dans l’eau, à mes pieds!