Je pense à toi!

Je pense à toi,
Seul dans ton coin!

Tu sais les choses,
On te l’a dit.
T’es en psychose,
Seul dans ton lit.

Je pense à toi,
Seul dans ton coin!

Parce que t’es seul,
Ta peur revient.
Tu cours, tu gueules
Et n’entends rien.

Je pense à toi,
Seul dans ton coin!

Calme-toi vite.
Pense à ton chien.
Plus tu t’agites,
Moins il est bien!

Je pense à toi,
Seul dans ton coin!

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Vers vous!

Sieste à quatre, bestioles comprises, dans le salon, fenêtres ouvertes. On croirait que c’est dimanche!

Ce moment de détente absolue nous a débarrassé de bien des pelures de stress.

Et, chez toi, ça va?

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Ensemble!

J’ai le respect de l’autre.
Je n’ soutiens pas un siège.
Je protège les autres
Et les autres me protègent!

Qu’est-ce que tu fous dehors,
A jouer les matamores?
Tu penses que tu es fort.
Mais aux autres, tu fais tort!

J’ai le respect de l’autre.
Je n’ soutiens pas un siège.
Je protège les autres
Et les autres me protègent!

Comme tout bon citoyen,
Je préserve mon voisin.
Je l’appelle demain,
Pour lui tenir la main!

J’ai le respect de l’autre.
Je n’ soutiens pas un siège.
Je protège les autres
Et les autres me protègent!

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Moustiques!

Des moustiques-comanches,
En un vol secret,
Se posent sur une branche,
Lorgnent ton jarret.

Ces insectes multiples,
Comme de gros gorets,
Te sucent, tel le tique
Et vont t’assécher!

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Fait beau!

Une pluie sincère,
Quand la terre a soif.
Un vent ordinaire
Qui, vite, nous décoiffe!

Un vol éphémère,
L’insecte-bombardier
Cherche une tanière
Dans le bois cloué.

Libellule légère,
Et grillon pressé.
Des coléoptères!
Tout plein, mon été.

Et puis les odeurs
Qui sont transportées!
Du lilas en fleurs
Au joli genêt!

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Viral!

Je me demande pourquoi un virus contamine tant de personnes. J’espère que c’est dans le souci de perdurer.
Si c’est ça, des virus, il doit en crever un paquet.
Si le virus n’a pas de volonté, la nature en a pour lui!

Les virus, vous serez étonnés d’apprendre qu’ils font partie des choses qui nous ont fait évoluer!

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Manger ou être mangé!

J’ai vu, l’autre jour, un frelon pendu par une patte, tête en bas, dévorer une abeille qu’il avait attrapée par derrière.

J’ai été désolé pour l’abeille, je l’avoue.
Puis très vite, j’ai vu un être se nourrir comme il peut, comme il sait.
A la fin, de l’abeille, il ne restait que la tête.

La nature est bien faite!

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En balade!

J’ai le goût de mots qui se goûtent.
Je n’veux pas écrire en yaourt.
Ma plume devrait sentir le foin
Et nous porter un peu plus loin!

Il n’est pas question de rater
Ce qui vit dans le fossé!

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Trouver des ressources!

Une abeille à ras du sol, de l’herbe courte. Un pissenlit, parapluie-géant l’incite à prendre de l’altitude. Des fois oui, des fois non!
Elles ont tout exploité déjà!

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