De la neige-sortilège!

« A la neige », par @djyako42300



Un feu de cheminée,
Dans un donjon glacé.
Ça s’est bien terminé.
De la soupe réchauffée
Et ce feu or-braisé,
C’est comme un sortilège.


Un feu de cheminée,
Dans un donjon caché.
On est bien réchauffé.
On a beaucoup marché,
Le vent froid et ouaté
De la première neige!

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Ce qu’il faut souhaiter!


Une vraie bonne vie,
C’est ce qu’il faut souhaiter.
Naviguer sans soucis
Et aimer exister.

A sa gloire, je souscris,
Être prédestiné.
Destiné à être lui
Et à participer!

Une vraie bonne nuit,
C’est ce qu’il faut souhaiter.
Avec rêves épanouis
Et ambiance de gaieté.

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Il y a maldonne!


— La goutte est tombée, mais l’onde n’a pas bougé.
Apparemment, il y aurait un phénomène d’inertie.

— Ah merde. Alors, on fait quoi?
On n’a pas quelque chose de plus fort?

— Si, une bombe.

– Envoyons-la!

— La lueur a scintillé et le rideau est retombé.
Essaie encore!

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Et toi, c’était comment?

Et toi, c’était comment,
La première fois
Où ils t’ont contactée?

Dis-moi, c’était comment,
La deuxième fois,
Quand ils t’ont embarquée?

Holà! Bonjour, les gens.
De vous à moi,
Vous pouvez la garder.

Sans moi! C’est évident,
Comme à chaque fois,
Ils vont la rapporter.

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Un ado, c’est comme ça!


Un ado, c’est un chat
Qui passe par la fenêtre.
C’est agile plus que ça,
Il nous faut bien l’admettre.

Un ado, c’est un rat
Qui sait te reconnaître.
Et qui mettra son doigt
Dans tes baumes-à-paraître.

Un ado, devant soi
Et ses questions pas bêtes,
Ça vous pousse aux abois,
Quand on veut être honnête.

Un ado, c’est un chat
Qui sait aussi émettre.
On le sert contre soi,
Quand on le voit paraître.

Un ado, c’est un rat
Amoureux du connaître.
Un ado sait la joie
Et puis aussi renaître!

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Quand ils nous vivent!


T’es trop fort aux échecs,
C’est pas intéressant.
Tes histoires puent du bec,
Je m’endors tout le temps.

On échange notre fric.
Tiens. Moi, j’ai zéro franc.
Je sais, tu dis Bernique.
Je l’entends à tes dents.

Mais, le trésor public,
Tu sais que c’est maman.
Peaufine bien ta réplique,
Joue pas les indigents.

Merci pour le conseil
Et pour garder tes gants!
Les échecs, c’est pareil,
Je nous sers du brûlant.

Les échecs nous isolent,
Je te parle d’un truc.
Tu mets mon roi au sol
Et me caresses la nuque!

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Là, on dirait des sardines!


J’adore ces petits baigneurs,
Petits matelots de marine.
Je les vois affronter leur peur,
En se serrant fort les narines.

J’adore les petits auteurs
De cette jolie blague de vermines
Qui nous a mis en fureur.
Ils sont là, serrés en sardines!

J’adore les petits acteurs,
Au grand parloir de la cuisine :
T’as vu comme j’ai pas eu peur,
Demain, c’est moi qui te lamine.

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