Publié le 26 décembre 2021A ces écrits qui m’ont pris! Tu es grand, t’es fort et t’as un beau message.Moi, je te dévore, à travers toutes tes pages!
Publié le 26 décembre 202126 décembre 2021La vie, ce n’est pas ça! La vie n’est pas soubrette qu’on plaque contre soi et qu’on prend en levrette.
Publié le 26 décembre 202126 décembre 2021Après moi, le déluge! Il a pu, sans vergogne,Partir et te distancer.Le monde est à sa pogneEt tu peux bien gueuler. Tes histoires de cigogneCommencent à le gonfler.Rien à foutre, il s’en cogneEt tout peut bien crever!
Publié le 26 décembre 2021A me creuser la tête! Souvent, mes idées s’embêtent.Elles sont bien capricieuses.Elles ont peur qu’on les rejette,Que je tourne en heures-creuses. Parfois, mes idées s’entêtentA se faire caverneuses.Alors, mes idées s’arrêtent,Bien avant la trotteuse!
Publié le 26 décembre 202126 décembre 2021Cela faisait deux ans! J’attendais, depuis deux ans, à la même place. Et l’autre abruti, il a fallu qu’il vienne se mettre devant! Comme s’il n’y avait pas assez de place.
Publié le 25 décembre 2021C’est que je suis à confesse! Je sens comme un vent de messeVenir me caresser les fesses.Si ce n’est pas de l’ivresse, C’est que je suis à confesse!
Publié le 25 décembre 202125 décembre 2021Un arrêté de peur! Un arrêté de peurEst, pour toi, proclamé.C’est pour crime de valeursContre l’Énormité!
Publié le 25 décembre 202125 décembre 2021De ce qui m’ampute! Je veux me couperDe ce qui m’ampute! Je veux me couperDe ce qui m’ampute.Je veux quitter le DoEt retrouver le Ut. Je veux me couperDe ce qui m’ampute.Délaisser le métroEt retrouver ma hutte. Je veux me couperDe ce qui m’ampute!
Publié le 25 décembre 202125 décembre 2021Mais t’es où, Zouzou? Tu es fou, Zouzou?Il faut pas respirer,Quand tu es dessous,Que tu nages en apnée!
Publié le 25 décembre 202125 décembre 2021C’est sûr que c’est de lui, ça! Tu lirais un texte à moi, Sans bien savoir de qui c’est, Je suis sûr, en dedans moi,Que tu me reconnaîtrais. Tu sais, quand j’écris pour toi,J’ai ce bonheur qui me plaît,Car je m’abreuve à la joieDe ton rire dans mon cornet!