Toi, quand tu tombes, que tu glisses et que je suis sur ta route, clairement, tu me vises. Ne dis pas le contraire. Tu t’accroches à mon pied, comme si tu voulais le garder, au moins en entraîner un bout dans ta chute ! Ce n’est pas pour te sauver de la déroute, c’est pour me contaminer. Il n’y a pas de : « J’ai buté contre toi. », car je te sens me tirer encore et j’entends ton rire anticipé!