La vie nous est donnée!



La vie, c’est un remède à l’ennui. Une invite!

C’est un mélange qui va changer.
Plus de joie, moins de peur.
Moins de joie, plus de peur.
On ne peut rien y posséder.

La vie, elle va te changer la vie. Participe!

C’est un mélange succédané.
Plus d’été, moins d’hiver.
Moins d’été, plus d’hiver.
Et on devra s’y adapter.

Ta vie, elle sera bientôt partie. Anticipe!

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Dans la tête d’une ablette!


Mais, dans ta vie d’ablette,
C’est quoi qui s’est passé?
T’as dormi, à la fête?
T’as pas pu attender?

Quand ça brille, une ablette,
On veut se prosterner.
Une fois la soupe prête,
On se met à manger.

Mais, dans ta vie d’athlète,
Sur quoi tu es tombé?
Ton nez fait la girouette,
Tu ne sais plus marcher.

Quand on fait l’omelette,
C’est pas des oeufs brouillés,
Avec trop des arêtes.
C’est un conte de fées!

Mais, à ta vie honnête,
Tu ne veux rien changer.
A vivre en une ablette,
Tu t’es bien habitué.

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La chimère des temps passés!


Une chimère agglutinée
De grands yeux de misère.
Il ne faut pas en rêver,
Sans être un mercenaire.

Une chimère échevelée,
Fouettant le fond de l’air.
Vaut mieux ne pas y penser,
Dessous un réverbère.

Une chimère des temps passés,
De quoi que ça a l’air?
C’est un genre de condensé
De frayeurs éphémères.

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L’orage est sur le lac!


Le vent fripe le lac de lames onduleuses.
Quelquefois, un poisson fait un flop.

Quel joli silence, dans la paix acqueuse.
C’est fin du jour, le soleil est myope.

L’eau se cogne un peu et devient mousseuse.
Des bulles se font timbres sur enveloppe.

L’eau se frémisse car elle devient nerveuse.
Au loin, un orage se développe…

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Quand c’est Quentin!


Quand c’est Quentin de Joie, bonjour, il balance son cartable.

Quand c’est Quentin de Loi, bonjour, logique irréfutable.
Quand c’est Quentin de Foi, bonjour, folie inévitable.

Quand c’est Quentin, deux fois, bonjour, moi, je quitte la table!

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Je serai seul, vraiment!



J’ai porté ma prière
Au grand dieu du vivant,
Pour que vive la terre
Et ceux qui sont dedans.

J’ai autre chose à faire
Que liser tes serments.
Tu es trop éphémère
Et tu ne vaux pas tant
.

Il a fui mes chimères,
Emporté par le vent.
Si je le laisse faire,
Je serai seul, vraiment!

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J’ai pianoté, sur un ton blanc!


Dur à piocher, comme ça, sans gants.
J’ai pianoté, sur un ton blanc.

J’ai navigué le cours du temps,
Croches acérées, évènements…
J’ai décroché, parfois, vraiment.
Toutes ces années, ces sentiments…

Dur à piocher, comme ça, sans gants.
J’ai pianoté, sur un ton blanc.

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