Il faut pas le toucher!


Car c’est un droit de frère
Que rester son complice.
Quoi que fasse mon frère,
Il n’y a pas de malice.

Une vie sans malice,
Sans rien à préempter.
Une sainte horreur du vice,
Pitié pour les damnés!

Et c’est mon droit de frère,
Je vais le défender.
Si tu ramènes ton air,
Je vais te l’aplater.

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *