J’ai lu récemment dans un bouquin que, Quand on déteste un de ses prochains, Il n’y a rien de plus sain que de lui souhaiter de : « Mourir, lentement, d’un cancer des testicules! » C’est vrai que c’est pas mal!
L’avis d’un vieux con provient de la vie d’un jeune con Qui a grandi, sans-façon, afin de devenir un vieux con. Sans avoir changer d’avis, sans avoir changé de vie!
L’homme-citadin a l’air d’une erreur de la nature. Pourtant, il existe et n’est pas bien, dans la nature. Je suis un néandertalien, pris en défaut de culture! Et puis, je ne comprends rien à leurs villes-conjectures. L’homme-citadin est un mutant, planté dans sa culture. De l’homme, il n’a plus rien, sauf un reste de blessure. L’homme-citadin, c’est notre erreur contre-nature. Il n’est pas, c’est certain, le prochain pas de la nature.
Chaque jour, chaque matin, l’enfant triste venait pleurnicher sur son banc. Chaque jour, chaque matin, à la même heure, une vielle dame s’asseyait à ses côtés. La bouche de l’enfant restait si fermée qu’il ne parlait jamais. Alors, la vieille dame s’est mise à l’écouter, comme ça, en ne disant rien! Longtemps, longtemps, cela dura longtemps. Un jour, la vieille dame fit tomber ses clefs, tout à fait par erreur. L’enfant triste se précipita pour les ramasser. Il les lui tendit et la vieille dame lui dit : « Merci! ».
Ont-ils échangé un peu ensemble, par la suite? Non, le lendemain à la même heure, la vieille dame s’asseyait près d’un enfant seul, dans un autre parc!