J’en ai plus qu’assez de tes histoires feuilles-mortes. Il y en a une qui fait, quand même, son petit effet :
« Pendant un orage, j’ai vu changer son visage. A sa place, celui de sa mère, morte et trépassée. De sa bouche, les mêmes mots sortaient. De ces mots que l’on n’oublie jamais! »
Le regard d’un père, plus jeune que mon gosse à moi. Son enfant, dans les bras. Comme il n’est pas si lourd, Il ne gigote pas! Le bercer, le porter, le tenir contre soi.
« Toi, tu es mon enfant et je ne veux rien changer de toi. Tu as des droits sur moi, j’apprends à répondre présent. J’apprends à bien te supporter, à être un père aimant! »
Père qui n’était rien avant et le comprend, à haute voix. Il re-signe et re-signe son contrat, si toujours étonnant! C’est, pour toujours, Noël quand tu regardes ton enfant!
Je me suis, peut-être, trompé, mais je ne le crois pas. Il est des regards qui aiment, dont on reconnaît la voix.
Ce qui se passe, vraiment, avec les gens bien, C’est qu’il nous font vivre des choses si belles! Quand c’est chaud, ils veulent assumer, seuls. Ce qui est fort dommage, c’est qu’il leur vient, Pas que des gens bien, mais aussi des brelles!
Les gens mettent la boule, dans le seau de leur choix. Pour une question à deux choix, tous se sont déplacés. On donne, à tous, à chacun, une boule de même poids, D’une facture différente celles des boules précédentes. Des experts, ou dans le genre, portent les deux seaux. Ils voient bien les couleurs, ils sont très vifs, très agiles. On accroche les seaux. Et elle penche, la balance à voix!