Viral!

Je me demande pourquoi un virus contamine tant de personnes. J’espère que c’est dans le souci de perdurer.
Si c’est ça, des virus, il doit en crever un paquet.
Si le virus n’a pas de volonté, la nature en a pour lui!

Les virus, vous serez étonnés d’apprendre qu’ils font partie des choses qui nous ont fait évoluer!

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Manger ou être mangé!

J’ai vu, l’autre jour, un frelon pendu par une patte, tête en bas, dévorer une abeille qu’il avait attrapée par derrière.

J’ai été désolé pour l’abeille, je l’avoue.
Puis très vite, j’ai vu un être se nourrir comme il peut, comme il sait.
A la fin, de l’abeille, il ne restait que la tête.

La nature est bien faite!

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En balade!

J’ai le goût de mots qui se goûtent.
Je n’veux pas écrire en yaourt.
Ma plume devrait sentir le foin
Et nous porter un peu plus loin!

Il n’est pas question de rater
Ce qui vit dans le fossé!

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Une année, ça passe vite!

Des jours longs, au goût de vase,
Un errements sans fanal,
Nous font des semaines bancales.
Nos belles années sans extase!

La douceur d’un printemps frais
Nous donne envie de l’été,
Là où le froid disparaît,
Pour un soleil irradié!

On recommence à geler,
L’année va se terminer.
Allons vite nous cacher,
En attendant notre été!

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Trouver des ressources!

Une abeille à ras du sol, de l’herbe courte. Un pissenlit, parapluie-géant l’incite à prendre de l’altitude. Des fois oui, des fois non!
Elles ont tout exploité déjà!

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Une lueur!

Hier, j’ai vu passer une Espérambole,
Avec ses ailes violettes et veloutées.
J’ai cette bestiole pour toute boussole.
Dans mes rêves, c’est le grand fanal sacré.

Elle me retire enfin de mon formol
Et me donne une grande envie d’amitiés.
Du petit être à la grande bestiole,
Il y en a trop avec qui on est lié!

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Encore lui!

Je baillais un peu aux corneilles.
Alors, je t’ai rentré dedans.
Tu lance des regards vers le ciel
Et ta bouche se remplit de dents!

Force t’est faite de constater
Que tu étais bien mal rangé.

Si tu avais bien piloté,
Il ne serait rien arrivé!

Tu baillais un peu aux corneilles
Quand tu m’as roulé sur le pied.
Je lève mon regard vers le ciel.
J’étais sûr qu’on se reverrait!

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L’art de banaliser!

Comme tous, j’aime les pensées agréables.
Mon cerveau en met dans tous les coins.
Voir la misère est désagréable.
Mon cerveau refuse d’en faire un foin.

Plus c’est loin, moins il se sent coupable.
Il dit juste : Eh bien, là-bas, ça craint!

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